Tu veux lâcher prise, mais plus tu essaies, plus tu galères ? Normal. Parce que le lâcher-prise, ce n'est pas ce que tu crois. Si tu penses que c'est « arrêter de penser » ou « accepter tout ce qui arrive », tu es complètement à côté de la plaque.
1. Lâcher prise, ce n'est pas abandonner
Trop de gens confondent lâcher-prise et résignation. Ce n'est pas baisser les bras, c'est arrêter de s'acharner là où ça ne sert à rien. Si tu forces une situation, une relation, un projet qui te bouffe, c'est que tu es en lutte. Et la lutte, ça s'épuise.
2. Tu n'as pas un problème de contrôle, tu as un problème de confiance
Si tu n'arrives pas à lâcher prise, c'est parce que tu veux garder le contrôle sur tout. Pourquoi ? Parce que tu ne fais pas confiance à la vie. Tu crois que si tu relâches, tout va partir en vrille. Sauf que c'est l'inverse : plus tu contrôles, plus ça coince.
3. Lâcher prise, c'est une question de corps, pas de tête
Tu ne peux pas lâcher prise en « décidant » de le faire. Ce n'est pas mental, c'est physique. Tant que ton corps est en tension, ton cerveau reste en mode survie.
Essaye plutôt ça :
✔ Respire profondément → Longue inspiration, expiration encore plus longue.
✔ Bouge → Étire-toi, danse, marche… Libère cette tension accumulée.
✔ Observer sans réagir → Sensation désagréable ? Laisse-la exister sans vouloir la chasser. Il suffit d'observer et de respirer à travers.
4. Le vrai lâcher-prise : accueillir l'inconfort
Lâcher prise, ce n'est pas se sentir bien tout le temps. C'est accepter de traverser l'inconfort sans paniquer. Quand tu arrêtes de lutter contre tes émotions et tes peurs, elles se transforment. C'est là que la magie opère.
5. Tu veux lâcher prix ? Arrêté d'essayer
Plus tu essaies de lâcher prise, plus tu t'accroches. Le vrai lâcher-prise, c'est arrêter de vouloir lâcher prise. Fais juste un pas en arrière, respire, et laisse la vie faire son job. Elle sait très bien ce qu'elle fait.
Conclusion : Moins de contrôle, plus de fluidité
Le lâcher-prise, ce n'est pas un effort, c'est une permission. Moins tu t'acharnes, plus tout s'aligne.
Alors, tu continues à lutter ou tu laisses enfin respirer ce qui doit respirer ?
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